![]() | Barbara BACH | |
Actrice américaine | ||
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Superbe créature, ancien mannequin, Barbara Bach a connu son heure de gloire dans les années 1970 en devenant la James Bond Girl Anya Amasova dans L’Espion qui m’aimait. Cantonnée dans des rôles de jolies filles décoratives, elle prend sa retraite des écrans à quarante ans. Barbara Goldbach est née à New York, le 27 août 1946. D’origine juive et irlandaise, elle est élevée dans la foi catholique à Rosedale dans le Queens. Diplômée de l’école pour filles Dominican Commercial High School en 1964, elle adopte le nom de Barbara Bach pour se lancer dans une carrière de mannequin professionnel, apparaissant dans des catalogues et des magazines de mode. Mannequin et actrice du cinéma italien D’une beauté photogénique, Barbara Bach devient l'un des visages les plus recherchés des années 1960, travaillant avec l’agence Eileen Ford à New York et faisant la couverture de plusieurs magazines comme Seventeen et Vogue, allant jusqu’à Elle en France, Gioia en Italie et Figurino au Brésil. Elle fait ses débuts d’actrice en Italie en incarnant Nausicaa dans L’Odyssée, une adaptation télévisée fleuve produite par Dino De Laurentis et réalisée par Franco Rossi. On la remarque auprès de Giancarlo Giannini dans Mio Padre Monsignore d’Antonio Racciopi et le film d’horreur giallo La Tarentule au ventre noir de Paolo Cavara auprès de deux anciennes James Bond Girls, Claudine Auger et Barbara Bouchet. Elle poursuit sa carrière en Italie avec Je suis vivant ! d’Aldo Lado avec Jean Sorel, Il Maschio ruspante d’Antonio Racioppi avec Giuliano Gemma, La dernière Chance de Maurizio Lucidi avec Ursula Andress et Fabio Testi, Ce Cochon de Paolo de Marco Vicario avec Giancarlo Giannini et Un Citoyen se rebelle d’Enzo G. Castellari avec Franco Nero. Elle retrouve Claudine Auger en France dans Un peu de soleil dans l’eau froide de Jacques Deray. La James Bond Girl Anya Amasova En 1977, Barbara Bach devient une star internationale en interprétant l'espionne russe Anya Amasova, la James Bond Girl de L'Espion qui m'aimait de Lewis Gilbert auprès de Roger Moore et Curd Jurgens. L’actrice ne porte pas en grande estime l’espion mythique 007, disant de lui dans une interview : « C’est un porc chauvin qui utilise les filles pour le protéger des balles ». Dès lors, l’actrice se voit confier des rôles de filles sexy dans des films de science-fiction comme Le Continent des Hommes poissons ou L’Humanoïde, des films de guerre comme L’Ouragan vient de Navarone avec Harrison Ford et Robert Shaw ou Nom de Code Jaguar avec Christopher Lee et des films d’aventure comme Le grand Alligator de Sergio Martino ou L’Homme des Cavernes avec Ringo Starr. Elle échoue à un casting pour la saison 4 de la série Drôles de Dames, les producteurs lui préférant Shelley Hack, selon eux moins sophistiquée. Ils ignoraient que Barbara Bach était américaine et la croyait italienne. Elle joue dans une vingtaine de films jusqu’à sa dernière apparition en journaliste dans Rendez-vous à Broad Street avec Paul McCartney. Elle a fait une apparition dans un reportage photo de Playboy en janvier 1981 et dans un numéro spécial de septembre 1987 consacré aux James Bond Girls. Barbara et Ringo Côté privé, Barbara Bach épouse en 1966 l’homme d’affaires italien Augusto, comte Gregorini di Savignano di Romagna. De cette union, naissent une fille Francesca et un fils Gianni mais le divorce est prononcé en 1975. La belle fait la connaissance de l’homme de sa vie sur le tournage de L’Homme des Cavernes. Il s’agit de l’ancien batteur des Beatles, Ringo Starr qu’elle épouse le 27 avril 1992. L’actrice révèlera sa lutte contre l'alcoolisme et une forte consommation de drogues avec son mari, Ringo Starr. Elle s'est inscrite en 1988 dans une cure de désintoxication pendant quatre semaines. Le couple est resté sobre depuis. En 1991, Barbara Bach cofonde le programme d'auto-assistance pour le rétablissement de la toxicomanie (SHARP) avec Pattie Boyd, l'ancienne épouse de George Harrison et Eric Clapton. De plus, Bach et Ringo Starr créent la Fondation Lotus, une organisation caritative avec de nombreuses sous-organisations caritatives. Lady Sharkey a pris sagement sa retraite d’actrice en 1986 à l’âge de 40 ans. FILMOGRAPHIE : | |
![]() Avec Ringo Starr |
1968 : L'Odyssée (Odissea) de Franco Rossi (tv) 1971 : Mio padre monsignore d’Antonio Racioppi 1971 : La Tarentule au ventre noir (La tarantola dal ventre nero) de Paolo Cavara 1971 : Je suis vivant ! (La corta notte delle bambole di vetro) d'Aldo Lado 1971 : Un peu de Soleil dans l'eau froide de Jacques Deray 1972 : I predatori si muovono all'alba de Filippo Walter Ratti 1973 : Il maschio ruspante d’Antonio Racioppi 1973 : La Dernière Chance (L'ultima chance) de Maurizio Lucidi 1973 : Ce cochon de Paolo (Paolo il caldo) de Marco Vicario 1974 : Un Citoyen se rebelle (Il cittadino si ribella) d'Enzo G. Castellari 1975 : Le Loup des Mers (Il lupo dei mari) de Giuseppe Vari 1977 : Ecco noi per esempio... de Sergio Corbucci 1977 : L'Espion qui m'aimait (The Spy Who Loved Me) de Lewis Gilbert 1977 : Le Masque d’Alexander Cross (The Mask of Alexander Cross) de Bernard McEveety (tv) 1978 : L'ouragan vient de Navarone (Force 10 from Navarone) de Guy Hamilton 1979 : Le Continent des Hommes-poissons (L'isola degli uomini pesce) de Sergio Martino 1979 : L'Humanoïde (L'umanoide) d'Aldo Lado 1979 : Nom de code : Jaguar (Jaguar Lives!) d'Ernest Pintoff 1979 : Le Grand Alligator (Il fiume del grande caimano) de Sergio Martino 1980 : Up the Academy de Robert Downey Sr. 1981 : L'Homme des cavernes (Caveman) de Carl Gottlieb 1981 : Les Secrets de l'Invisible (The Unseen) de Danny Steinmann 1982 : Lady Chance (The Cooler) de Lol Creme et Kevin Godley (cm) 1983 : Princesse Daisy (Princess Daisy) de Waris Hussein (tv) 1984 : Rendez-vous à Broad Street (Give My Regards to Broad Street) de Peter Webb 1986 : To the North of Katmandu de Terence Ryan (cm) 2013 : La Vérité sur Emanuel (The Truth about Emanuel) de Francesca Gregorini Filmographie de Barbara BACH | |
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